sociale, qui était financé par la région Alsace.
>> De notre côté, au niveau des financements,
à partir du moment où on était arrivé >> à un projet qui pouvait
potentiellement déboucher sur un nouveau marché ou une alternative,
nous ce qu'on a fait en interne, c'est qu'on a présenté le dossier,
puisqu'on est organisé par la direction de l'innovation au niveau de la branche Eaux,
puis de la branche de Suez dans son ensemble,
donc on a défendu le projet devant >> les entités
nationales de l'innovation de Suez Eaux pour essayer de décrocher des
subventions et on est passé également au niveau supérieur,
c'est-à-dire Suez, pour des projets de plus grande ampleur où on avait fait
la demande d'avoir des financements à la fois pour l'équipement en tant que tel,
c'est-à-dire de passer du prototype >> à un équipement plus industriel et
en finançant également la partie test en laboratoire.
Ce qu'on nous a attribué, c'était uniquement la partie test en laboratoire
qui était quelques dizaines de milliers d'euros, pour
faire tous les tests et mener tous les tests en laboratoire de combustion, etc.
On nous avait dit,
on attendait les résultats pour voir si on passe l'étape suivante.
>> Le Labo des partenariats apporte un soutien plutôt
technique et puis de mise en œuvre du partenariat.
Par contre, on est en capacité de mobiliser nos outils financiers d'Alsace
Active, donc les outils de France Active, qui permettent de financer l'émergence de
projets ou développement d'activités.
>> Les impacts sont mesurés auprès des publics cibles, auprès de la formation,
auprès des gains, entre guillemets,
pour la collectivité, du point de vue environnemental.
Il y a également des impacts qui sont mesurés auprès des chefs d'entreprises.
>> C'est vrai qu'on a cette même problématique d'essayer de mesurer
l'impact, c'est pas forcément évident
de mesurer l'impact des activités ou des actions qu'on mène,
ça devient de plus en plus indispensable parce qu'effectivement, quand on est
dans des recherches de partenariats, >> il faut mettre aussi un certain nombre
de moyens derrière et effectivement dans des groupes ou même dans une entreprise,
on doit rendre compte aussi de ce qu'on fait, quelle est la valeur ajoutée.
C'est souvent difficile à mesurer parce qu'il y a plusieurs aspects.
Il y a d'une part l'activité qu'on peut développer, que ce soit au niveau de
l'insertion, du handicap qui peut être mesurable, des heures d'insertions créées,
de travail, des heures de travail créées, cela peut être une chose,
mais après en termes d'image, en termes d'ancrage, comment est-ce qu'on mesure,
c'est toujours compliqué, mais je pense qu'il faut qu'on se force à le faire.
Aujourd'hui, on ne l'a pas beaucoup fait.
Mais il faut qu'on se force à le faire, ne serait-ce que pour rendre
audible et lisible les actions qu'on mène vis-à-vis de l'extérieur.
>> Nous, sur certains partenariats, on a évalué la valeur ajoutée partagée,
la création de valeur ajoutée partagée,
donc ce que ça rapporte à la fois, >> ce que vous évoquiez,
pour l'entreprise, pour l'association, pour la collectivité.
Là, il y a deux choses qu'on peut évaluer, il y a l'évaluation du partenariat en tant
que tel, parce qu'on s'aperçoit que les gens travaillent ensemble,
ça donne des fruits, mais après on atteint un certain plafond de verre,
parce qu'il y a des habitudes qui se prennent et alors que de l'extérieur,
on pourrait se rendre compte qu'il y a d'autres choses à exploiter ensemble
et après de l'impact vraiment auprès des bénéficiaires.
>> Je pense que cette question de mesure d'impact, elle est absolument essentielle,